Voilà maintenant quelques heures que nos héros se sont décidés de partir tous ensemble en Guinée, les voilà désormais dans l’un des plus grands aéroports parisiens en attendant le prochain vol vers Parawol. Ils commençaient tous à fatiguer et vaquaient chacun à leurs occupations sans prendre la peine d’échanger, Niggara était allongé sur un des sièges dans une des salles d’attente il roupillait tranquillement en écoutant un peu de musique. Saidou était quant à lui contre un des murs en train de boire une boisson étrange un grand sourire aux lèvres Dognareff était assez intrigué et le questionna alors à ce sujet pour engager une discussion. “C’est du soda? J’en ai jamais vu de similaire à celui-ci la couleur est étrange…’ Saidou semblait alors ravi qu’on lui pose la question, il s’écria en tendant la bouteille à Dognareff “Tu n’as qu’à en juger par toi-même!’ “Bien…” Dognareff était assez méfiant de boire cette chose non pas qu’il manquait de confiance envers Saidou mais bien car il a
Notre récit commence dans l’une des plus belles villes du monde Paris, la capitale à la renommée mondiale qui attire chaque jours des milliers de visiteurs. Alors que les gens veulent habituellement y acheter des souvenirs ou des vêtements, un jeune homme cherchait désespérément au milieu de la foule de badauds une échoppe vendant du riz cassé pour cuisiner un plat traditionnel africain dont on lui avait parlé, il arpentait toute la ville sans trouver le moindre résultat concluant. Ici tous les magasins étaient axés autour du tourisme, il continua alors à arpenter les ruelles jusqu’à atteindre des coins plus sombres et moins entretenues de la ville, alors qu’il pensait faire demi-tour au vu de l’état de l’endroit un miracle se produisit il tomba nez à nez avec un magasin africain. Il eut du mal à lire le nom inscrit sur la pancarte tant elle était poussiéreuse mais il arrivait tout de même à décerner un mot qu’il ne comprenait pas, il y avait marqué Itoura. L’homme se présenta alors au
Niggara était prêt à faire face à l'homme qui avait gâché sa vie pendant neufs long mois, il se mit à hurler sur l'inconnu qui avançait pas à pas vers lui au détour d'une ruelle sombre "Fils de pute, ramène toi Saidou je vais t'arracher la gueule!' Alors qu’il s'apprêtait à se lancer sur l'homme les bruits de pas s'arrêtèrent, ils laissèrent place à un grand silence. Il était particulièrement pesant plus un bruit ne réchappera de la ruelle close, la colère de Niggara fut vite rattrapé par la peur quand il vit quelque-chose qui roulait depuis l’endroit d’où venaient les bruits de pas. Il ne le voulait pas mais il savait qu’il devait s’approcher, il devait découvrir ce qu’on venait de lui lancer tout en attrapant ce fameux Saidou Diallo alors il se mit à marcher doucement vers la chose qui s’était arrêté contre une vieille poubelle. Il n’eut pas besoin d’approcher tant que ça, rien qu’en étant à une dizaine de mètres il l’avait compris à l’odeur pesti
Commentaires
Enregistrer un commentaire